Présentation du produit
C’est aussi un apéritif, c’est aussi à base de pomme, coing et miel, c’est aussi élevé en fût, mais cela n’a rien à voir avec le Tisquin! Au départ, en 2007, ce fut une commande d’un festival, et à cette occasion j’ai assemblé un chouchenn sec mais fort en alcool, avec du sirop de coing et du jus de pomme. A la différence du Tisquin, c’est donc un cockail, un assemblage de 3 produits stables, et non une fermentation de trois matières premières qui transforment leurs sucres respectifs en alcool. L’idée était de créer une sorte de vin rosé à la mode de Bretagne! La boisson a bien plu, on l’appela “Petit Malin”, en clin d’oeil au slogan “Faîtes pas les malins, buvez du Tisquin”, et petit à petit le petit frère du Tisquin est devenu grand. Il est surtout vendu à la cave et sur les marchés, ce qui ne l’empêche pas d’atteindre le cap des 2 000 bouteilles en 2010. A boire nature, bien frais, à l’apéritif.
Conservation : 1 mois au réfrigérateur après ouverture
Conditionnement : bouteille 50 cl, carton 8 bouteilles
Marque déposée
A propos du producteur
Tisquin

Une fois il était, quelque part en Bretagne, dans le Pays de Redon, un alchimiste en herbe qui apprenait à faire le cidre avec les anciens du village, et qui fabriquait de drôles de boissons pour ses copains. Un jour de 1998, il incorpora, dans une barrique où fermentaient déjà du miel et du jus de pommes, une gelée de coings qui n'avait pas pris et qui était restée à l'état liquide : le Tisquin était né. Au fil du temps il apprit sur le tard l'apiculture et l'arboriculture, afin de produire une authentique boisson du terroir. Aujourd'hui la Cave Tisquin est une petite exploitation agricole qui compte une cinquantaine de ruches, 2 hectares de cognassiers et autant de pommiers cultivés sans aucun pesticide, qui permettent de produire bon an mal an entre 10 000 et 15 000 bouteilles, avec une gamme de 6 boissons naturelles.
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