Le petit épeautre de Haute Provence en I.G.P.

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Présentation du produit

Une saveur restée inchangée depuis plus de 10 000 ans

Quand on a fait les poches d’Ötzi, un nomade du Néolithique découvert dans un glacier de la vallée de l’Ötztal en 1991, on a trouvé ni “smartphone” ni carte à puces … mais on a trouvé du petit épeautre.

Il avait pris soin d’en emmener une petite provision avant de partir se balader en montagne ..

Depuis des milliers d’années l’histoire du Petit Épeautre est étroitement liée à celle des montagnes du pourtour de la méditerranée, les premières traces de sa culture datant de 9000 ans avant JC.

Consommé en abondance jusqu’à l’époque romaine, puis abandonné au profit des blés froments pour des raisons de rendement, le Petit Épeautre ou Engrain a été remis au gout du jour il y a seulement une vingtaine d’années, par une poignée de collègues bagarreurs et obstinés .

Sa composition génétique atteste de son origine ancienne : c’est la seule espèce
cultivée du genre Triticum qui est diploïde , munie de 7 paires de chromosomes ( le blé dur est tétraploïde et le blé tendre ou le grand épeautre sont héxaploïdes )

Il n’a jamais été sélectionné pour rentabiliser de bonnes doses d’engrais ou de pesticides, c’est certainement un des raisons pour laquelle il est apprécié des personnes souffrants d’une intolérance au gluten .

Il est reconnu comme “produit sentinelle” par l’association Slow Food

Je vends en direct ou en circuits courts une bonne partie de ma récolte de petit épeautre de Haute Provence , en grains décortiqués, en sachets de 500 grammes.

Les habitants de l’agglo valentinoise peuvent aussi se le procurer à Satoriz Valence, implanté sur la rive ardéchoise du Rhône ( entre Granges et St Péray ) .
Il y est disponible dans un distributeur vrac pour combattre – encore et toujours – le suremballage et l’invasion du plastique ..