Recette : terrine de légumes au chaource
Aucun commentaire Catégorie : Recettes et plats à base de légumesIngrédients
50 ml de crème
150 g de chaource
20 g de farine
3 œufs
350 g de bettes
250 g de brocolis
25 g de carottes
250 g de tomates
125 g de fonds d’artichauts surgelés
125 g de champignons de Paris
1 botte de basilic
1 citron
Huile d’olive, beurre
Procédure
1 Beurrez les terrines.
2 Lavez les bettes. Séparez les feuilles des côtes que vous réserverez et blanchissez les feuilles.
3 Lavez les tomates, carottes, brocolis et champignons. Mondez les tomates, épépinez-les et coupez-les en morceaux. Taillez les carottes en longs bâtonnets fins. Cuisez à la vapeur séparément les carottes, fonds
d’artichauts et brocolis. Escalopez les champignons. Pressez le citron, mettez le jus à bouillir dans une casserole avec un peu d’eau, la farine et une pincée de sel, puis jetez-y les champignons. Maintenez à
ébullition quelques instants et laissez reposer hors du feu avant de les égoutter.
4 Coupez les côtes de bette en morceaux de 2 cm en retirant les filets. Plongez-les 1 à 2 min dans de l’eau bouillante salée. Ils doivent rester croquants. Égouttez-les. Étuvez-les à l’huile d’olive.
5 Hachez l’équivalent d’1/2 botte de basilic. Réalisez l’appareil avec les œufs, la crème et le basilic haché.
Assaisonnez.
6 Coupez le chaource en petits morceaux. Ajoutez-le à l’appareil.
7 Garnissez les terrines en alternant les couches de légumes et d’appareil. Couvrez-les de papier d’aluminium et cuisez-les au bain-marie 40 min dans un cuiseur-vapeur ou au four à 100 °C.
8 Démoulez. Servez bien chaud avec les feuilles de bettes.
A propos du membre
cyril janin

"Hâtons-nous de succomber à la tentation avant qu'elle ne s'éloigne". Epicure. Vous apprécierez encore mieux le Jambon Noir de Bigorre en sachant que le Noir de Bigorre est une ancienne race qui était menacée d'extinction dans les années 1980. Les tisanes Bio de Lenna provenant des Cévennes seront encore plus délicieuses quand vous aurez visité son site, découvert qui elle est, et l'ampleur du travail qu'elle réalise pour vous livrer sa production. Face à la mal bouffe industrielle, à l'homogénéisation du goût et des produits, il est temps de réagir, de redécouvrir nos milliers de petits producteurs et de les soutenir ...si nous en avons les moyens financiers. Hâtons-nous de succomber à leur tentation, aux produits qu'ils nous proposent, avant qu'ils ne s'éloignent à tout jamais.
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