Fleur de Sel de l’Ile de Ré au Poivre de Kérala

Vente : fleur de sel de l’ile de ré au poivre de kérala

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Présentation du produit

Assemblage de fleur de sel de l’Ile de Ré et de Poivre de Kérala (Sud Ouest de l’Inde).
Kérala berceau historique du poivre. La production locale figure au premier rang des poivres les plus appréciés.
Le poivre noir est récolté avant complète maturité puis il est séché au soleil. Sa saveur brûlante et piquante relèvera à merveille tous vos plats.

En cuisine il se mariera harmonieusement avec les viandes rouges, les poissons gras : maquereaux, sardines, anchois, thon, anguille, avec les sauces brunes et les sauces à la tomate, avec les légumes : blette, chou rouge, lentilles, pois chiche … et aussi les marinades et charcuteries.

Si vous constatez que de l’humidité persiste dans la fleur de sel, ôtez alors le joint du bocal et conserver la fleur de sel ainsi, en prenant soin de ne pas renverser le pot qui n’est, de ce fait, plus hermétique

Conseil d’utilisation : En la déposant, juste avant de servir, sur vos plats cuisinés, vos viandes et poissons grillés, la fleur de sel relèvera vos mets les plus délicats.

A propos du producteur

L’Huilerie de Neuville

L’Huilerie de Neuville
Producteur à Neuville De Poitou (86170) dans le terroir Le mirebalais et le neuvillois

L’Huilerie de Neuville est la dernière des treize huileries recensées à Neuville de Poitou au début du 20ème siècle. Elle fut Fondée en 1850 par un certain Monsieur Goujon. Onésime Goujon le fils du fondateur eût deux enfants, Georges et Georgette. Georges disparu prématurément à la guerre et Georgette épousa un « Batard ». L’huilerie Goujon devint l’huilerie Batard-Goujon. Le dernier des Batard naquit vers 1930 et dirigea l'huilerie pendant 60 ans mais c’est autour de 1950 que l’huilerie fût rebaptisée Huilerie Jacques Batard. Il prît sa retraite en 2003, mais sa descendance n'ayant vocation pour l'huile de noix, il revendit la fabrique. La dynastie des Batard fut brisée. Elle resta cependant quelques années au nom de son ancien propriétaire. C’est très récemment que l’huilerie fut nommée Huilerie de Neuville. Les noix utilisées pour la fabrication de l’huile proviennent toutes exclusivement du Poitou, et même de la région Neuvilloise. Neuville de Poitou se situe à une quinzaine de kilomètres au nord de Poitiers et à une dizaine de kilomètres à l'ouest du Futuroscope. Ce sont des particuliers qui amènent leurs noix à l’huilerie entre janvier et mars. En effet, la récolte des noix a lieu fin septembre, début octobre. Les récoltants les ramassent, les laissent sécher dans leurs coques, les cassent en décembre et amènent les cerneaux à l’huilerie en janvier. Ils les vendent, les échanges contre de l'huile ou bien l'huilerie leur fabrique leur huile. Au choix. Et cela dure depuis plus de 150 ans. Nous traitons entre 30 et 40 tonnes de cerneaux chaque année. Dès leur arrivée les noix sont triées et stockées dans des frigos en fonction de leur qualité. Nous les séparons en 3 catégories, le cerneau Extra, l’Arlequin, et l’invalide. Ces qualités correspondent à deux critères, la couleur et l’état du cerneau ; L’extra est un cerneau très blanc et entier, L’ Arlequin est un cerneau entier mais plus sombre et l’Invalide est un cerneau cassé. Il faut savoir que la période de séchage entre septembre et décembre est très importante. Une noix qui n’est pas complètement sèche produira une huile chargée en acidité. L’acidité étant un gage de qualité, c’est la raison pour laquelle nous nous imposons cette période. La région Poitou-Charentes fut autrefois une grande région de production. On trouvait en effet de très nombreux noyers et Neuville comptait 13 huileries. L’huilerie Batard est la dernière rescapée d’une hécatombe qui commença en 1914 avec la guerre. On avait besoin de fusils dont les crosses étaient en noyer. On commença donc a arracher des noyers. Puis vînt le remembrement et la région se transforma en terre à céréales, et enfin la mécanisation de la vigne fît de gros ravages. Chaque parcelle de vigne possédait à l’entrée et à la sortie un noyer. Le paysan faisait son vin avec la vigne et son huile avec les noix. On voit encore cette configuration en se promenant dans nos campagnes. Et donc lors de la mécanisation de la vigne, les noyers gênaient les machines et on les a donc arraché. Si bien que nous sommes passés d’une grande région de production à une toute petite région de production. Il n’y a d’ailleurs plus de professionnels de la noix, et nos fournisseurs sont uniquement des particuliers qui possèdent 1, 2 ou 3 noyers. Autrefois, on comptait différents métiers issus de la production d'huile de noix. Les échalupeuses, étaient les femmes qui cassaient les noix et extrayaient le cerneau. La distribution n'avait rien à voir avec nos systèmes de distribution moderne. Jusqu'en 1950, les propriétaires partaient en charrette, souvent pour la semaine, et allaient de ferme en ferme vendre leur huile. En ville, ils revendaient leur production aux "Petites vendeuses d'huile" qui revendaient à leur tour l'huile dans la rue à la louche.

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